Quelques données ou poncifs : l’autopartage, c’est cher (pour 36 % des répondants d’une étude), c’est utilisé par des usagers aisés, c’est un transport individuel (pas fait pour les familles).
– L’autopartage subit la concurrence des VTC, des autres moyens de transports individuels (vélos, trottinettes, monocycles, covoiturage…)
– Ses avantages : économie ?… Ses inconvénients : service qui stagnerait, qui ne serait plus déclencheur de pratique de nouvelles mobilités ou de multimodalité (enquête nationale 2012 – 2016).
– Enfin ses échecs : Autolib et Vélib à Paris (alors que Lyon et Bordeaux semblent fonctionner), pourquoi ? Qui va payer ?
– Dernière question : gagne-t-on de l’argent avec l’autopartage, en gagnez-vous ou sinon quand ?