Qui retrouvons-nous dans l’autopartage ? : les sociétés et les services financés par le villes, les plates-formes B2B et B2C, les acteurs de la location de courte durée du type Avis (Okigo-Zipcar) ou Hertz (Connect by Hertz) et de nouveaux entrants comme les constructeurs automobiles avec Renault Mobility, PSA avec Free2Moove. L’autopartage est-il un danger pour eux, vont-ils vendre moins de voitures ? Leur taux d’utilisation en augmentant va-t-il compenser les moindres volumes ?
Toujours dans les chiffres :
– L’on dit que chaque voiture en autopartage remplace 5 à 10 voitures particulières tout en libérant 4 à 8 places de stationnement, vrai ou faux ?
– Le marché est estimé à : 86 000 véhicules et 5,8 millions d’utilisateurs (Monde), 31 000 véhicules et 2,1 millions d’utilisateurs (en Europe) et seulement 5 000 véhicules disponibles pour 310 000 utilisateurs en France (source Wavestone) ? Est-ce un épiphénomène ou pas chez nous ?
– Le grand marché de l’autopartage serait en chine, quelle est donc sa place réelle en Europe et en France ?