Suite à la crise sanitaire, notre regard a changé sur la mobilité…
Automobiles, motos, utilitaires, vélos, avions, etc. Alors que les Français commencent à se déplacer à nouveau, Bridgestone, l’un des grands de l’industrie du pneu et désormais comme beaucoup, des solutions de mobilité, a interrogé les consommateurs sur leur perception du contexte actuel, en collaboration avec l’institut Harris Interactive /Toluna*. Ainsi 1 Français sur 2 a changé son regard sur la mobilité. Si beaucoup annonçaient avant la crise sanitaire la fin de la voiture et du transport individuel, les résultats montrent que les Français retrouvent l’usage de la voiture avec un vrai soulagement, signe de liberté retrouvée, dans des conditions de sécurité reconnue : « Chez Bridgestone, nous travaillons en permanence autour de ces enjeux, pour devenir l’un des leaders en solutions de mobilité » commente Tom Adams, directeur Général de Bridgestone France et Benelux.
– Au lendemain des élections municipales et alors que la Convention Citoyenne pour le Climat a fait ses premières propositions pour la mobilité, les répondants estiment que les politiques autour de la mobilité doivent être repensées, à la fois par les pouvoirs publics mais aussi par les acteurs du secteur automobile. Les attentes des Français envers les politiques publiques sont d’abord centrées sur la gratuité des transports en commun – Ndlr : ce qui existe déjà dans certaines villes, mais se retrouve dans les impôts… – (36 % des répondants) et l’aménagement des espaces urbains pour les deux roues (35 %) ou les piétons (17 %).
– Les Français attendent également des actions de la part des constructeurs automobiles : ils souhaiteraient des solutions écologiques pour les transports en commun (41 %), et la mise à disposition de véhicules électriques en libre service (40 %). Ces demandes de solutions de mobilité s’accompagnent aussi de plus de pédagogie et d’une meilleure information : ainsi, près d’1 Français sur 2 souhaiterait avoir des cours ou des tutos pour bien utiliser son vélo ou sa trottinette en ville.
Mobilité Post-Covid…
– Pour 1 Français sur 2, la crise sanitaire a changé leur regard sur la mobilité… La crise du COVID-19 a donné un coup d’arrêt brutal et sans précédent à la mobilité. Dès le 17 mars, une très grande majorité de Français a été confrontée à un arrêt partiel voire total de la mobilité. Pour autant, tous ne l’ont pas vécu de la même façon. Ainsi, si près de 40 % des Français se sont sentis frustrés ou perdus par le fait de ne plus pouvoir conduire ou se déplacer, pour 61 % des répondants, cette période a été associée à une action responsable. En restant chez eux, ils ont vécu l’arrêt de la mobilité comme une parenthèse pour la planète. Cette période particulière a également permis aux Français de faire le point sur leurs anciennes habitudes de déplacement. Ils sont ainsi 29 % à souhaiter désormais investir dans l’achat d’un moyen de déplacement doux type vélo électrique ou trottinette, passer le permis deux-roues pour acheter une moto ou un scooter (8 %), ou encore privilégier davantage le co-voiturage (6 %).
Enquête Mobilite – Source Bridgestone
– Enfin, Les moyens de déplacement individuels sont perçus par près de 9 Français sur 10 comme indispensables, voire “ libérateurs ” dans cette nouvelle normalité… Aujourd’hui, les modes de déplacement individuels (mécanisés ou actifs) sont valorisés par 87 % des Français : les répondants les perçoivent comme indispensables pour éviter les risques de contagion (29 %), utiles pour la santé ou les besoins déplacements – courses, trajets lieu de travail – (27 %), voire “ libérateurs ” pour 31 % d’entre eux. Seuls 13 % des répondants jugent les moyens de transports non nécessaires. Et depuis le retour à la normale, 4 Français sur 10 sont toutefois restés très frileux vis-à-vis des déplacements, et qualifient leur mobilité de nulle ou réduite aux stricts déplacements de première nécessité. Les Français qui se déplacent à nouveau depuis le 11 mai ont quant à eux fait le choix à 43 % d’utiliser un mode de transport personnel, qu’il soit mécanisé (auto, moto,…) ou actif (vélo,…). Seuls 15 % des répondants ont repris les transports en commun. L’étude montre ainsi que la mobilité individuelle risque, au moins temporairement, de prendre le pas sur la mobilité collective afin de respecter le principe de distanciation sociale établi durant le confinement.
Ma voiture avant tout…
En effet, plus d’1 Français sur 2 (56 %) considère la voiture comme moyen de transport le plus sécuritaire dans le contexte actuel, devant la marche à pied (31 %). Les transports collectifs sont eux qualifiés de sécurisants par seulement 2 % des répondants. En même temps, comme disait l’autre, si la voiture est perçue par 56% des Français comme le mode de déplacement le plus sécurisant pour se protéger du virus, le fait que les usagers décident de reprendre leur véhicule inquiète 1 répondant sur 2 quant aux conséquences sur la pollution et l’environnement.
Pour toutes ses raisons, Bridgestone propose un certain nombre de services dont Mobeflex, le service de location de vélos électriques maison, pour une mobilité intelligente et respectueuse de l’environnement. Ainsi, dans la plupart des grandes villes de France et à partir de 59 € par mois, l’utilisateur a le choix entre une sélection de vélos urbains, pour le tourisme ou pour le sport, tous équipés de batteries adaptées à ces besoins spécifiques. Et plus particulièrement sur les pneumatiques, le cœur de métier du manufacturier, Bridgestone s’est associé à Microsoft pour développer la Plateforme Microsoft pour Véhicules Connectés (MCVP), le premier système qui permet de détecter et de surveiller en temps réel la détérioriation des pneus (très utile sur les véhicules connectés et autonomes d’aujourd’hui et de demain). Enfin, Webfleet Solutions exploite données et analyses en provenance des véhicules pour gérer plus efficacement les déplacements des flottes.…
* Méthodologie : Étude quantitative en ligne via panel Harris Interactive / Toluna au près d’un échantillon de 1 504 personnes “ représentatif de la population française ” âgée de 18 à 60 ans vivant en unité urbaine de 20 000 habitants ou plus. Dommage qu’une fois de plus les populations péri-urbaines et les ruraux, pour qui la voiture est encore plus indispensable, n’aient pas été, eux-aussi, interrogés !